Terrorisme : polisario

Le terrorisme en Afrique comme ailleurs tue sans distinction de race ou de religion dans le but d’intimider et d’exercer des pressions sur les gouvernements et même sur les populations.
Les zones désertiques de ce continent ont toujours été vulnérables face au danger de la radicalisation, dans lesquelles la perméabilité des frontières facilite l’infiltration des groupes extrémistes radicaux.
Les liens avérés entre le Polisario et les groupes terroristes sévissant dans la région sahélo-saharienne sont actuellement connus de tous les services de renseignements et sécuritaires de la région et européens.
Le polisario s’avère une fausse entité révolutionnaire. Les arrestations de certains de ses membres en collusion les autres groupes au cours de ces dernières années, a permis de décerner la vraie physionomie de cette organisation.
Le voile est tombé, et le qualificatif du polisario ne peut être un mouvement de libération. C’est une organisation terroriste qui s’adonne en plus au trafic d’armes de drogue et traite de personne.
Le soutien de l’Algérie dans ces faits est éclatant. Elle abrite sur son territoire à Tindouf les camps de cette organisation. De plus, des ressortissants marocains sahraouis sont pris en otage dans ces campements.

L’atrocité de ce drame qui dure depuis des décennies dans cette région, se révèlera par la destruction de l’identité et la personnalité de nos victimes compatriotes.

Il serait temps que l’Algérie assume ses responsabilités dans cet endroit sensible et d’éviter l’instrumentalisation de ce problème créé pour sa consommation intérieure, avant que le polisario ne perpètre plus de dégâts à notre pacifiste population. Population qui ne cherche qu’à rejoindre la mère patrie.